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- La ville de Nîmes organise une
Réunion Publique
Futur Parc Urbain « Pichon »
Mercredi 24 octobre 2018
de 18h à 20h30
Au Centre Pierre Gamel
(5, avenue des Camarguais, 30 900 Nîmes)Dans le cadre de la démarche de concertation la Ville de Nîmes a organisé une série de 3 ateliers pour réfléchir collectivement au projet de parc urbain sur le site des anciennes pépinières Pichon.
Un panel mixte d'une trentaine de personnes a participé à ces ateliers. Ce panel était composé, pour un tiers des habitants, pour un tiers des membres d’instances participatives (comités de quartier et conseils citoyens) et pour un tiers des représentants associatifs.
Le but de ces ateliers étant de recueillir des propositions collectives pour enrichir le projet, de faire un diagnostic, d'imaginer un scénario idéal et de formuler des recommandations pour le parc à venir.
Cette réunion publique sera l'occasion de partager avec vous leurs recommandations citoyennes...
A l'issue de la présentation, les habitants pourront réagir et faire des suggestions.Dans le cadre de la Concertation pour l’aménagement
du futur parc urbain sur les pépinières Pichon,
les 7 Comités de quartier de Costières
et 2 associations d'habitants écrivent au maire...- Comité Beausoleil - Rte d’Arles,
- Comité les Charmilles,
- Comité Cité des Espagnols,
- Comité Haute-Magaille,
- Comité Maréchal Juin - Camargue,
- Comité Marronniers - Rte Générac,
- Comité Narvik,
- Ass. Droit au Soleil,
- Ass. Parmentier Environnement.
Comme vous le savez, la municipalité, vient d'engager une concertation et de présenter publiquement un scénario pour le futur Parc Urbain sur les Pépinières Pichon, pour à terme déposer un dossier de Déclaration d'Utilité Publique.
A ce stade des études, ce scénario ne fait pas office de projet, mais pose les bases d’une réflexion sur les orientations d’aménagement à prendre.
Autant de sujets sur lesquels nous sommes invités à nous exprimer, afin de construire ensemble une réflexion commune sur l’avenir de ce parc.
Nous sommes très favorables à la création du Parc Urbain,
mais ce scénario ne nous convient pas !
Nous sommes POUR une "façade végétale" et CONTRE une "façade d'immeubles" !Suggestions et observations à adresser à l’adresse mail
spécialement créée par la Ville de Nîmes :
[email protected]Ou VIA le formulaire
Pépinières Pichon...
Que nous dit le PLU ?
Que nous dit le PPPRI ?
Nous voulons un Parc Urbain
Revue de Presse
Les incohérences du scénario du bureau d'études...
Les documents Scénario ALEP
21 juin 2018Le parc Georges-Besse se prépare à accueillir un bâtiment de 141 m de long à la façade entièrement vitrée et sérigraphiée.
C'est le Département du Gard, en quête de locaux pour rassembler nombre de ses services éparpillés un peu partout en ville, qui devrait s'en rendre acquéreur dans sa totalité.
>>> Voir l'article sur Midi LibreAVIS D’ENQUÊTE PUBLIQUE UNIQUE
relative au projet de réalisation de la ligne T2
Tram’Bus Diagonal de Nîmes Métropole sur la commune de Nîmes
(maître d’ouvrage : communauté d’agglomération de Nîmes Métropole)
>>> Voir l'annonce
Futur parc urbain sur le site des anciennes pépinières Pichon
Réunion Publique prévue
le Lundi 25 juin 2018 à 18 heures
Au Centre Pierre Gamel (5, avenue des Camarguais, 30 900 Nîmes)
pour discuter avec les porteurs du projet et les autres participants !
>>> Lire le dossier complet de concertationDerrière la gare, des voisins…
Le Lycée CCI Gard, autrefois appelé le CETS (Centre d’Enseignement Technique et Social) était bien isolé jadis dans ce qui est devenu le « Triangle de la Gare ». Aujourd’hui le quartier est dense, des logements, des commerces de toutes sortes, un grand cinéma, tout cela a bouleversé ce territoire qui s’est subdivisé en plusieurs territoires qui se superposent et se confondent : le territoire intime des habitants, le territoire de vie des élèves, celui de la petite zone commerciale qui ouvre ses modernes enseignes sous les coursives des immeubles...
>>> Suite de l'article de Philippe IBARS sur l'éko des Quartiersl'ITEP Villa Blanche Peyron
accueille la fête des voisins
Repas partagé :
chacun apporte un plat (sucré ou salé)
et/ou boissons.
Mise à disposition d'un barbecue
Vendredi 25 mai 2018 à partir de 18h30
Info pratique : venir à pied ou en vélo.
Tél: 04 66 04 99 40Les habitants de la rue Parmentier
font la fête des voisins
Vendredi 25 mai 2018 à partir de 20h00
Repas partagé :
chacun apporte un plat (sucré ou salé)
et/ou boissons.
Opération "Portes Ouvertes" au centre Pierre Gamel,
organisée par le Club des Camarguais
Les vendredi 25 (après-midi)
et samedi 26 mai (toute la journée)
Ils présenteront leurs différents ateliers: peinture, peinture sur soie, aquarelle, couture, vitrail, marqueterie, initiation au bridge...
et exposeront quelques œuvres réalisées par leurs adhérents.
Ceci donnera peut-être envie aux habitants du quartier de les rejoindre lors de la saison prochaine.30 avril 2018Un parc urbain public à Nîmes : le comité de quartier satisfait mais vigilantL'aménagement des anciennes pépinières Pichon : un dossier récurrent pour le comité de quartier des Marronniers, un secteur résidentiel concerné de près par ce projet. Depuis des années, l'association de riverains interpellait la mairie sur la nécessité de redonner un statut à cet espace vert.
Il y a cinq ans, lors d'une visite de l'équipe municipale dans le quartier, les habitants avaient signalé la présence de squatters dans les bâtiments, des départs de feu et même l'explosion d'une voiture. Des incivilités rendues possibles par la disparition progressive des clôtures à certains endroits. Autant dire que la perspective de ce parc urbain, concrétisée par la déclaration d'utilité publique, est aujourd'hui un soulagement.
Pour autant, le comité ne baisse pas la garde. Qu'on évoque la possible construction d'immeubles de logements en bordure du parc, rue des Quatrefages, et la réponse fuse : ce sera non.
Protéger au maximum l'espace vert... >>> Lire la suite de l'article COMPLET sur Midi Libre
8 avril 2018L'acquisition des pépinières Pichon et la réalisation d'une diagonale verte sont un vieux rêve nîmois dont il a été débattu lors du récent conseil municipal. Créer, dans un quartier densément urbanisé, un espace de verdure et de quiétude à deux pas du centre-ville.
« C’est la première démarche d’un gros et long dossier qui traite d'une superficie de près de 15 hectares. L’État doit donner son avis rapidement. Puis viendra le temps des consultations au Conseil municipal et avec les associations concernées. C’est un premier débat qui s’ouvre aujourd’hui mais nous y travaillons depuis longtemps même si nous n’avions pas pu trouver un accord avec la famille. Cet espace sera vert et ouvert. Il servira de promenade et on vous informera au fur et à mesure de l’avancée du projet », détaille longuement le maire de Nîmes, Jean-Paul Fournier.
Cette diagonale verte est un des trois axes directeurs de la trame verte et bleue inscrite par la Ville dans le cadre de la révision de son Plan local d'urbanisme (PLU). La municipalité souhaite saisir l'opportunité de l'existence de cet ensemble foncier en friche bénéficiant d'une localisation privilégiée. Mais pour Catherine Bernié-Boissard, « ce projet devrait être celui de l’agglo et pas seulement de la Ville de Nîmes. Les Jardins ouvriers et les zones périphériques agricoles devaient servir à aménager un ensemble écologique préservé mais ces terrains ont été intégrés au Parc Georges Besse. Allez-vous écouter les associations qui proposent d’élargir le périmètre de ce parc au-delà des pépinières Pichon, de s’inspirer du Bois des Espeisses et de reconsidérer différemment le lien entre le Vistre de la Fontaine et le Vistre ? » Pour sa part, Thierry Jacob, conseiller municipal Front national, « souhaite que les riverains soient associés aux futures constructions, si constructions il y a. » Un peu d’hôtellerie devrait y voir le jour mais Jean-Paul Fournier a voulu rassurer l’opposition. Révéler le passé horticole du site en s'appuyant sur son armature paysagère semble tenir la corde et le cours d'eau existant pourrait vite devenir un axe majeur de la composition de ce futur parc.du 29 Mars au mercredi 4 Avril 2018
Pichon, vers l'expropriation
COULÉE VERTE. Le dossier coulée verte sur les pépinières Pichon à Nîmes revient sur le tapis. Depuis une délibération de 2015 prévoyant la saisine du préfet pour les enquêtes parcellaires et de déclaration d'utilité publique, plus rien. La procédure se poursuit cette année avec la réalisation du dossier de DUP, soit la détermination des parcelles à exproprier, par un prestataire en cours de sélection par la Ville. Le conseil municipal devrait voter une délibération à ce sujet avant l'été. Et déposer tout le dossier sur le bureau du préfet.26 Mars 2018
Pépinières Pichon : le dossier avance
Une DUP en cours.
Lors de l’assemblée générale du comité de quartier Les Marronniers, le dossier des pépinières Pichon a bien évidemment été abordé. Des pépinières que la Ville souhaite transformer, depuis des années, en parc urbain. « De nouveaux éléments nous ont été apportés par les élus, précise Joël Gardes, secrétaire du comité. La première phase administrative préparatoire, au cours de laquelle la mairie doit démontrer l’utilité publique du projet, est enclenchée. La concertation préalable va être lancée. » Dans la foulée, le projet devrait être présenté en conseil municipal d’ici le mois de juin, et l’enquête publique se dérouler d’ici la fin de l’année. Rappelons qu’une DUP (déclaration d’utilité publique) est une procédure administrative permettant à une collectivité territoriale de réaliser une opération d’aménagement sur des terrains privés en les expropriant.M.-L.G
Plantation de trois caroubiers
Mercredi matin, trois caroubiers de taille exceptionnelle ont été positionnés sur le giratoire J.Y. Cousteau en porte-char et levés à l'aide d'une grue de 100 tonnes. Cette espèce d'arbres dioïque de la famille des fabacées est originaire des régions méditerranéennes et peuvent atteindre 7 à 8 mètres de haut, avec un feuillage persistant. Le caroubier est en fleurs d'août à septembre. Il produit la caroube, une sorte de fruit formé d'une gousse qui contient des graines. La taille et le poids de ces graines étant très réguliers, soit 0,20 gramme, elles ont servi d'unité de mesure dans l'antiquité. Leur nom est à l'origine du carat, qui représentait le poids d'une graine de caroube, dans le commerce des pierres précieuses, toujours utilisée comme unité de poids aujourd’hui. Les trois sujets plantés ont respectivement 300, 250 et 200 ans et pèsent 6, 3 et 2 tonnes. Ils proviennent de la région de Valence en Espagne. Avant d’élire domicile à Nîmes, ils ont été gardés 3 ans en culture pour être certain de la bonne reprise du végétal
Comité de Quartier
Route d'Arles - Beausoleil
7 chorales
sous la direction de Nicole EYMARD
Accompagnées par
Michel MENEGHINI à la trompetteConcert Caritatif pour Laurence
Dimanche 27 mai 2018
à l'église Bethléem à 17h